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« La fratrie sacrifiée » 

C’est un récit de vies poignant.
Pour la première fois, une noble famille valaisanne lève le voile sur son histoire en rendant public l’enfer qu’elle a vécu. Depuis le 14e siècle, sa présence flamboyante dans les arcanes du pouvoir n’a cessé de grandir jusqu’à la malheureuse Geny qui refuse de rentrer dans le rang et s’obstine à en éloigner ses enfants.
C’est la fratrie encore vivante aujourd’hui, mais à jamais meurtrie, qui livre son histoire. A la recherche d’une reconnaissance ?
L’auteur n’est qu’un passeur et son interprète en lui prêtant rigoureusement sa plume.
 
Éditions Récits
À commander ici-même à  Frs 15.- port compris 

« Dérives féminines »

Kessy, jeune journaliste londonienne, a vécu les tribulations des suffragettes pour l’obtention du droit de vote féminin à l’ère victorienne. Elle est dépêchée par le Times à Paris pour y tenir une chronique mondaine après la première guerre mondiale. Mais à peine débarquée, l’actualité la rattrape et la contraint à suivre un procès retentissant d’une femme qui a tué. Tout Paris en est bouleversé et même Londres. Mais Kessy n’y est point préparée. Comme pour s’en distraire, son empathie la pousse à promouvoir la première collection d’une pauvre couturière aux prises avec la patronne avisée d’une grande galerie parisienne. 


C’est aussi l’histoire de cinq femmes qui ont tenté d’émerger du carcan masculin.


Éditions 5 Sens

À commander ici-même à  Frs 20.- port compris

« Quand les maris se feront une omelette »

Issue d'une famille bourgeoise de la prude Angleterre victorienne du XIXe siècle, Kessy assiste, encore innocemment, au tournant historique de la condition féminine. Le destin va lui faire vivre la frustration de ses pionnières autant que la souffrance de ses besogneuses, mais toutes sont magnifiquement empreintes de résilience. Au centre du kaléidoscope infernal de la société londonienne, son empathie la pousse à agir tant dans les milieux intellectuels que dans ceux des miséreux. Alors, sur quels horizons du XXe siècle l'amour va-t-il encore porter sa vie ?


Éditions Le Lys Bleu

À commander ici-même à  Frs 20.- port compris

J'ai ADORE cette lecture ! Le combat brut, fort, puissant et terriblement courageux des femmes au 19e siècle dans l'Angleterre... J'ai été emportée par cette lecture car c'est comme un grand roman historique, presque romanesque et passionnant et pourtant, c'est bien le combat de femmes qui s'élèvent contre la société patriarcale, le silence et le retrait auxquels sont assignées les femmes et cette quête du droit d'exprimer leurs idées, leur position dans les grandes questions de l'époque et la quête de l'autonomie par le travail... En définitive ce n'est qu'à la fin que j'ai réalisé que j'ai lu les combats des femmes d'une autre époque. Il est vrai que j'ai le droit de vote, je suis née avec et je ne me suis jamais posée de question sur ce sujet. Enfin, c'est un écrivain de Suisse Romande et j'ai été super contente de découvrir cet écrivain, puisque c'est rare que je lise des écrivain.es de ma région.
La Fleur

Le manuscrit est comme une immense fresque, un tableau de taille phénoménale dans lequel sont présents tous les ingrédients sociaux, architecturaux, vestimentaires, musicaux, liés à l’urbanisme, aux transports, aux progrès scientifiques, industriels et médicaux de la fin du 19e siècle en Angleterre. 
Les personnages sont en costumes bourgeois d’époque, en robes longues serrées sur la taille, avec de belles matières, du velours, des bottines cirées, des rubans, des manteaux longs, des noeuds papillons, des crinolines… Les femmes protagonistes sont mises à l’honneur. Le texte leur dédie des rôles de précurseurs, de femmes fortes qui ne perdent pour autant rien de leur féminité. 
Les connaisseurs se régaleront, les autres affamés déploreront le manque de sang et de luxure… (sourire).
V. A.-B. lectrice professionnelle 
Votre livre est passionnant, on peine à le lâcher. L’écriture est belle, fouillée dans les termes et la construction des phrases. La lecture est d’autant plus captivante que le texte est découpé en chapitres qui renvoient alternativement aux antagonistes de cette histoire. Le sujet est original, très bien documenté et me touche particulièrement en tant que femme.
J. M.

C’est avec plaisir que j’ai suivi le parcours de Kessy dans sa découverte bouleversante du monde des femmes besogneuses dont elle ignorait tout. J’ai redécouvert aussi les codes rigides de la société bourgeoise dont on n’a plus idée maintenant et à propos desquels, en tant que femme du 20ème siècle, je ne m’étais jamais posé de questions. Merci de donner l’occasion aux femmes de notre époque de reprendre conscience du chemin parcouru et d’en être reconnaissantes à celles qui nous ont précédé.
C.L.

J’ai lu ton livre avec intérêt. Je ne peux que te féliciter. J’ai eu beaucoup de plaisir. Il est bien écrit. Le récit est bien construit, bien documenté, bien rythmé et très intéressant. Bravo. 
B.M.

J’ai adoré votre approche incisive, pertinente et pleine de références historiques. J’ai été très émue par la vie de ces femmes, courageuses et donnantes. Nos grands-mères et arrière-grands-mères, finalement. J’ai admiré leur résilience et leur capacité à rebondir, parfois avec humour et vous avez su nous emballer tout ça avec art. Un tout grand bravo à vous ! je me réjouis de lire les suivants car votre approche nous tient en haleine tout le long. Votre français et votre style me vont très bien, tout en n’étant pas preneuse pour les «longueurs» dans les descriptions.
I.M.